[Aventure Aaron]: Chapitre 3 ( terminé, en attente de validation)

Première partie


Aaron(pense) : Alors comme ça vous étiez des grands Marines, j’espère que je deviendrai aussi grands que vous !


     Soudain , un ballon vint percuter la jambe d'Aaron, qui le ramassa alors. Un jeune enfant, blond au yeux bleu s'avança timidement vers lui et lui demanda poliment s'il pouvait lui rendre.

Enfant : Excusez-moi monsieur, je ne voulais pas vous faire de mal, dit-il en rougissant.


Aaron se mit à la hauteur de l'enfant et lui mit la main dans les cheveux.

Aaron : Mais il n'y a pas de souci mon petit, dit-il en riant de bon coeur.

Il lui tendit alors le ballon et celui-ci le reprit et partit voir sa maman qui le surveiller de loin. La mère vint alors remercier Aaron de sa gentillesse.

Maman : J’espère que mon enfant ne vous as pas importuner , dit elle en souriant.
Aaron : Non ne vous en faite pas madame, et puis comment peut on en vouloir à un enfant qui joue, dit-il en souriant à son tour.

Alors qu'il faisait connaissance avec cette jeune maman, le capitaine du bateau passa un message via un escago-parleur.

Capitaine : A l'attention de nos passagers, suite à un petit problème technique, notre bateau fera escale sur l'île de Micqueot. Nous vous demandons donc de retourner vous asseoir à vos places respectives afin que notre bateau accoste au plus vite; Notre compagnie s'excuse de ce désagrément et vous un agréable voyage.

Maman : Oh, comme c'est dommage, viens mon fils nous devons écouter le capitaine. Eh bien je vous souhaite une bonne journée jeune homme.
Aaron : Merci, vous aussi.

La mère et son fils partirent s'asseoir et Aaron en fit de même.


Pendant ce temps dans la cabine du Capitaine


Le capitaine reposa l'escargo-phone avec lequel il avait passé son annonce et un deuxième homme prit la parole.

???: Eh bien voilà, tu vois quand tu veux, dit l'homme cagoulé, en maintenant le pistolet sur la nuque du capitaine,
Capitaine : Qu'allez-vous leurs faire ?dit -il avec un tremblement dans la voix
??? : Ça, ce n'est pas ton problème vieillard !

L'homme si mit à partir, laissant le capitaine seul, mais s’arrêta, la main sur la poignée de porte de la cabine.

Inconnu : Oh faite, si jamais tu parles de quoi que se soit, on s'en prendra à toute ta famille, en commençant par ta femme et ton fils, alors si tu ne veux pas qu'il arrive de regrettable accident tais-toi ! dit-il d'un ton menaçant.


L'homme sortit, laissant le capitaine seul.

Dix minutes après cette intervention du capitaine, le bateau accosta sur l'île de Micqueot. La pause était prévu pour 3 heures environ; les passagers étaient donc inviter à descendre du bateau pour visiter l'île et ses nombreuses boutiques de vêtements et de bijoux. La visite semblait sympathique, tout comme ses habitants et commerçants; quelques marins faisaient leurs rondes montrant ainsi que la ville était sûre et qu'il ne devait pas y avoir de problèmes;l'architecture y était digne des plus grandes villes, bref, c'était une belle ville campagnarde.

Pourtant, au même moment, dans un coin reculé de la ville, l'ambiance y semblait plus malsaine.


Inconnu : Alors comment c'est passé ta mission ?!

L'homme qui parlé était assez grand et musclé, sa chevelure et sa barbe rousse lui donné un air machiavélique.

Inconnu : Sans encombre, c'était aussi facile de l'effrayer qu'enlever la sucette de la bouche d'un gosse, dit le deuxième homme en se tordant de rire.

Le deuxième homme était plus petit que le premier mais semblait tout aussi dangereux; sans doute du à son crâne rasé et ses multiples cicatrices sur le visage.De plus, Un pistolet et une cagoule était attaché à sa ceinture. C'était cette même personne qui avait agressé le capitaine du navire.

Homme 1 : Alors, est ce qu'il y a des bijoux et de l'argent à volé à nos chers clients ?
Homme 2 : Il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent, mis à part un collier en émeraude et une chaîne en or que possède la femme et le fils du capitaine.
Homme 1 : Comment ça tu te fous de ma gueule, qu'est ce que je vais dire au boss moi ! Va falloir faire raquer les commerçant aujourd'hui ! Bien il est temps pour nous d'aller faire nos courses maintenant !

Une dizaine d'hommes habillé en costumes noirs se mirent donc à partir en direction du centre-ville.

Deuxième partie


Dans le centre-ville


Aaron se mit à visiter le centre-ville, il admira la beauté des architectures, ces différences entre les bâtiments et l’ornement majestueux omniprésents. Et alors qu'il visitait, Aaron eut faim, il décida donc de s'arrêtait manger dans un petit restaurant vendant des spécialités du monde entier.

Aaron : Bonjour monsieur, que conseilleriez-vous à un jeune homme affamé et qui a besoin de reprendre des forces ?
Marchand : Eh bien, j'ai appris à cuisiner il y a très peu de temps des ramens à la sauce tomate, tout le monde en raffole ici, dit -il avec un grand sourire.

Alors des étoiles firent leurs apparitions dans les yeux d'Aaron, et un léger coulis de bave sortit de sa bouche.

Spoiler:

Aaron : J’achète !, hurla t-il.
Marchand : Bien, je vois que monsieur à hâte d'y goûter, dit-il en partant cuisiner.


Le marchand se mit à préparer la nourriture pendant qu'Aaron s'installa sur une chaise. Alors qu'il attender, il croisa de nouveau la jeune femme et son fils, suivit de près par un homme en costume noir à l'allure louche.

Femme : Alors on ne se quitte plus hein, dit-elle en souriant
Aaron : Oui, vous avez raison, rétorqua t-il en souriant lui aussi.

Aaron(pense) : Cet homme en noir, il a l'air louche, au moment où elle s'est arrêter il s'est arrêter lire une carte postale, et au moment où elle s'est avancée vers moi, il a suivit du regard sa trajectoire.

Aaron pencha alors la tête vers le bas et vit un pendentif d'émeraude autour du cou de la jeune maman et une chaîne en or pendouillé autour du cou de son fils.

Aaron : Vous avez un très beau collier Madame.
Femme : Oui c'est mon mari qui me l'a offert, d'ailleurs en parlant du loup le voilà qui arrive.

Le capitaine du bateau arriva, on pouvait le reconnaître à 10 kilomètres grâce à son costume blanc et sa casquette de capitaine. Il embrassa sa femme et prit son fils dans les bras.

Capitaine : Bonjour ma petite femme, sa va ?
Femme : Oui, j'ai rencontré un jeune homme sur le bateau, et depuis je ne fait que le croisé.
Capitaine : Ahah quelle coïncidence, dit-il avec un regard méfiant
Je me présente, je suis John, le capitaine du navire.
Aaron : Je suis Aaron, dit-il en souriant


Capitaine(pense) : Il doit être un des hommes de mains du gars de ce matin, il faut que je la prévienne sans éveiller les soupçons.

Capitaine : Chéri, tu peut venir avec moi, choisir un petit cadeau pour mon second dans la boutique juste à côté ?
Femme : Oui, bien sûr, au revoir jeune homme, dit elle en souriant
Aaron : Au revoir madame, rétorqua t-il en souriant à son tour,

Le capitaine emmena dans la boutique à côté et lui raconta sa matinée.

Femme : Non ce n'est pas possible, il est si gentil avec nous.
Capitaine : Justement, tu ne trouves pas sa suspect qu'un homme que tu ne connais pas soit si gentil avec toi ?!
Femme : Toi alors, tu vois le mal partout !
Capitaine : Le mal je l'ai vu ce matin, bref fais attention, ne traîne pas trop dans les rues s'il te plaît, dit il en tenant sa femme pars les épaules.

Femme : Promis! Mais c'est plutôt à toi que je devrais dire ça.

Une fois le capitaine partit, l'homme en noir s'avança jusqu'à la boutique où se trouvait sa femme; mais cette fois, Aaron le suivit. Il était persuadé que cet homme en avait après leurs bijoux. Il courut au moment où il entendu le cri du jeune femme, laissant le bol de ramen sur le comptoir

Marchand: Jeune homme vous oubliez votre bol de ramen, dit -il en se penchant sur le comptoir.
Aaron: Garde le moi au chaud! dit -il tout en courant

En effet, l'homme avait coincé la femme du capitaine et son fils dans une impasse et ils étaient apeurés par l'homme.

Homme : Donne moi tes bijoux, dépêche toi où je vous fais du mal à ton fils et toi !
Femme : Non je vous supplie laissait nous !

Alors Aaron arriva héroïquement et affronta le voleur.

Aaron : Pourquoi ne pas te battre contre quelqu'un de ta trempe plutôt ?!
Homme : Toi tu vas regretter d'être là, dit-il en sortant un couteau.

Aaron lança son sac au sol et se mit en position de combat.L'homme se mit alors à courir en direction d'Aaron; pendant ce temps là, la femme se mit à courir avec son fils pour se rendre dans un endroit sur.

Aaron: Je vais te mettre une branlée comme il se doit!
Homme: J'attends de voir ça !

Les deux hommes commencèrent à s'échanger de nombreux coups de poings, mais aucun d'entre eux ne réussissez à prendre l'avantage sur l'autre. Ils s'arrêtent quelque seconde afin de reprendre légèrement leurs souffles.

Aaron: Tu te débrouille pas mal pour un sous-fifres! dit -il en reprenant son souffle.
Homme: Tu n'es pas mauvais pour un gamin, rétorqua t-il.

 Les deux hommes se remirent à se battre et une fois que l'homme fut à bonne distance et qu'il laissa une bonne ouverture pour mettre un direct du droit au visage, Aaron lui envoya une Frappe Oursonne.
 Aaron frappa son adversaire de toutes ses forces.

L'homme ne s'attendait pas à une telle vitesse d’exécution, ce qui le fit légèrement reculé et lui ouvra une partie de la lèvre inférieur.

Homme: Quoi?! Alors on dirais que tu sait un peu te battre, dit-il en s'essuyant la bouche, d'où couler un léger filet de sang.


L'homme sortit alors un couteau à cran de sa poche.

Homme: On va voir ce que tu sais faire maintenant!

L'homme revint alors à la charge. Il donna de nombreux coups de couteau dans le vent jusqu'à ce que l'un d'eux toucha Aaron au niveau de l'abdomen.Aaron cracha du sang et l'homme se mit à rire frénétiquement.

Homme: Alors t'as aimé ce coup, dit il en essuyant le sang de sa lame avec sa langue.

Mais, sans qu'il s'en aperçoive, Aaron s'était relever et avait armé son One kick:
Aaron feinta une frappe avec son poing et mit une balayette à son adversaire qui se retrouve au sol, il lança une série de coups de poings sur son adversaire.

Lorsqu'il eut fini, le visage de l'homme était en sang et celui-ci était tombé inconscient.Il le porta alors sur son épaule et le ramena jusqu'au centre de la marine le plus proche où il retrouva la jeune maman et son fils.

Femme: C'est lui qui nous a agressé, bon sang vous êtes blessé jeune homme, dit -elle en pointa du doigt l'homme inconscient.

Aaron posa l'homme à terre et celui-ci se mit à se réveiller

Marine: Merde pas lui...
Homme: Eheh content de me revoir sergent ?! dit-il en se relevant difficilement.
Aaron: Comment ça, vous-vous connaissez?
Marine: Écoute, Joe repars tranquillement, tu as essayer de voler et on t'en as empêcher, à la place on peut te donner de l'argent et en échange ça s’arrête là!

Joe: Non, le boss va être au courant de tout ça. Prépare- vous à vous battre la Marine, dit -il en repartant tranquillement, comme s'il ne c'était rien passé.

Marin: Eh merde, vient petit faut aller soigner ta blessure, dit-il en amenant Aaron en direction de la tente de l'infirmière.

Troisième partie


Alors qu'Aaron était en train de faire soigner sa blessure par un des infirmier de la base militaire, le sergent vint l'interroger.

Sergent: Écoute petit, je pense qu'il va falloir que tu partes de cette île au plus vite, tu as mis le pied dans une histoire qui te dépasse.
Aaron: Mais de quoi vous parlez, le rôle de La Marine est d'arrêter les criminels, alors je partirais quand cela sera fait et pas avant!
Sergent: T'es de la marine toi ?!
Aaron: Non, pas encore... Mais cela ne saurait tarder.
Sergent: Petit, ici on est en sous-effectifs, on est moins bien armés qu'eux et ils ont des alliés haut-placés, alors notre rôle c'est d'éviter les débordements!
Aaron: Mais c'est pas possible d'entendre des choses comme ça!dit-il d'un air scandalisé. Alors c'est ça votre modèle de la Justice hein?! Vous êtes la honte de la Marine.
Sergent: Eh c'est pas un mioche qui va m'apprendre mon boulot! Ici c'est une toute petite ville, on a des femmes et des enfants, toutes nos familles sont ici. Bien sûr qu'on est au courant pour les trafics d'armes, de drogues et les dividendes que reçoivent les mafieux de la part des commerçants;tout le monde sait que c'est la pègre qui règne en maître, mais sans aide, on ne peut rien faire, alors enfonce toi ça profondément dans le crâne et pars de cette île dès que tu en auras l'opportunité.
Aaron: Alors c'est ça que vous apprenez à vos recrues, si l'ennemi est trop fort pour vous ne luttez pas ?! Je ne pensais pas que la Marine était tombé aussi bas, dit-il en se levant de son lit.

 Aaron sortit de la tente et se dirigea vers la sortie où il était loin de se douter qu'on lui réserverait une surprise. Une centaine d'hommes attendaient Aaron, et parmi eux, l'homme qu'il avait combattu auparavant, qui était là pour le dénoncer.

Joe: C'est lui patron qui a fait foirer la mission!dit-il en pointant Aaron.


Alors l'homme le plus grand de tous s'avança et se présenta.Il était grand et se distinguer es autres avec ses cheveux roux.

John: Je suis John, maître des lieux et du GangBieber. A cause de toi, mes hommes et moi même allons avoir de sérieux problèmes, alors il va falloir que je ramène la tête du coupable, c'est à dire toi!. Suis nous sans discuter et il ne lui arrivera rien.

John prit une femme au hasard dans la foule environnante et la menaça avec un revolver au niveau de la tempe, tout en la maintenant fortement contre lui.Cependant, cette femme était enceinte. A ce moment là, plusieurs marins sortirent du camp, armés de fusil afin de négocier. Les oppresseurs sortirent eux aussi leurs fusils qui se faisaient face désormais.

Sergent: Écoute John, on peut discuter.
John: Oh la Marine. Sa me fait vraiment plaisir de vous voir mais là il y a un gros problème donc si vous ne voulez pas qu'on s'embrouille laisser nous faire notre tambouille compris?
Sergent: Écoute moi John, on peut te passer de l'or, mais en contrepartie tu relâche ton otage!
John: Apporte moi l'or et on verra bien si sa me satisfait.

Un des marins partit chercher plusieurs sac d'or, mais pendant ce temps, Aaron était déjà partit au pas de course en direction de son adversaire, sans que le Sergent ne puisse le retenir. Cependant, Aaron fut rapidement stopper dans sa course et tomba la tête la première contre le sol, c'était Joe qui s'était vengé en lui tirant une balle au niveau de la cuisse gauche.Aaron se tenait fortement la cuisse afin de limiter la perte de sang.

John: Gamin laisse parler les grands, les petits dans ton genre ont seulement le droit de la fermer! dit-il en riant.
Sergent: John, on en a pas besoin d'en arriver à ces extrémités quand même.

A ce moment là, le marin reviens avec plusieurs sacs d'or.

John: Vous vous foutez de ma gueule, alors c'est à ce prix là que vous estimez la vie de cette femme enceinte et de ce gosse, dit il en pointant le bout de son arme sur le corps d'Aaron.

Alors qu'il s'apprettait à tirer, un homme interrompa la scène et tout les hommes se mirent à genoux en même temps.Un homme vétu d'un manteau de fourrure, un pantalon de smoking et des chaussures italiennes arriva sur le lieu de la scène.

Homme: Oie Oie, que se passe t-il ici?
John: Mr...Mr ...Mr Giovanni, dit-il en s'agenouillant à son tour.
Giovanni: Eh bien parles, que je sache ce qu'il se passe sur mon île!
John: Eh bien ce gosse nous avons empêcher de prendre notre due alors on vient le récupérer, déclara t-il en baissant la tête.
Giovanni: Attends, tu viens de me dire que pour récupérer de l'or, tu viens prendre en otage une femme enceinte et que tu as tiré sur un en enfant, dit il en esquintant un léger rictus d’agacement.
John: Euh eh bien c'est a dire que c'est Joe qui a perdu contre cet enfant et qui lui a tiré dessus.

Alors l'homme sortit un revolver et tira une balle dans le coeur de Joe, celui-ci tomba raide mort au sol, la bouche et les yeux grands ouverts. L'homme laissa partir aussi la jeune femme. Il s'approcha alors d'Aaron et les Marines assister à la scène impuissant.

Giovanni: Alors comme ça c'est toi qui nuis à mon business?! C'est pas très bien tout ça. Dit-il en tenant fermement le menton d'Aaron.

Aaron: Sale pourriture va!

En entendant ces mots, le sergent réagi immédiatement.

Sergent: Soldats baissez-vos armes et rentrer dans le camp immédiatement.

Les soldats furent d'abord passifs puis  exécutèrent les ordres sans broncher, tout en étant perplexe.

Sergent: Giovanni, en échange de la vie de cet enfant, je t'offre cet or et la Marine te laissera mettre en place ton trafic de "Club érotique" dans ton quartier.

Giovanni se tourna alors sa tête vers le sergent.

Giovanni: OhOh, mais c'est que la Marine a de très bon espion, cependant tout sa me paraît être un marché. Alors entendu! Vous, récupérez l'or et jetez ce cadavre à la mer! Quand à toi petit, tu as bien de la chance que je sois dans un élan de clémence aujourd'hui car je te laisse la vie sauve, mais si jamais tu remet les pieds ici, je te ferais goutter à une souffrance si lente et douloureuse que tu me supplieras la bouche grande ouvertes afin de t'achever!dit-il d'un air menaçant.
Aaron: Un jour, je te montrerai ce qu'il en coûte de défier la Marine!
Giovanni: Ahahah ,j'aime ce regard emplie de haine, j'attendrais ce jour avec impatience alors.Eh bien ce fut un plaisir de faire des affaires avec vous Sergent, appeler moi je pourrais vous avoir quelques places dans mon "club". Dit-il d'un air moqueur.

Giovanni et ses hommes étaient maintenant parti. Le sergent avait récupérer Aaron et l'emmena une nouvelle fois à l'infirmerie.

Sergent: Tu aurais pu mourir petit.
Aaron: Je serais mort la tête haute!
Sergent: Tu crois que tes capacités et ton physique te permettront de devenir un grand marin?!
Aaron: Peut être pas mais en tout cas je serais fidèle à moi même.
Sergent: Tu sais, la ville est équipée d'escargo-vision et j'ai pu voir tes capacités de combattants. Tu as raison, la Marine a besoin de marins de ta trempe!dit-il en lui tendant un papier.

Aaron se mit à lire le papier, qui était en faite une lettre de recommandation signé et tamponnée.

Sergent: Je te donne une opportunité de me montrer ce que vaut un "vrai marine" selon ta vision des choses. Tu pars dans une semaine.

Le Sergent laissa Aaron seul avec l'infirmière. Désormais, il venait de franchir le dernier cap vers sa destination finale; il ne lui restait plus qu'un pas à faire pour devenir un Marine.

D'abord merci pour la note. ^^
Ensuite je vais faire plus attention à ces petits détails, et pour la marine d'élite je suis désolé j'ai quelques peu oublié que les "simples soldats" ne connaissent pas la marine d'élite, je vais éditer ça pour que mon personnage ne la connaisse pas ^^

Aaron a écrit:

D'abord merci pour la note. ^^
Ensuite je vais faire plus attention à ces petits détails, et pour la marine d'élite je suis désolé j'ai quelques peu oublié que les "simples soldats" ne connaissent pas la marine d'élite, je vais éditer ça pour que mon personnage ne la connaisse pas ^^

Ben si je peux ajouter quelque chose, simple soldat ou colonel, la marine d’élites moins peu citées, et je doutes que la plupart des marines en connaissent l'existence. Bien que la marine d'élite doit être connu des marins de la fin de Grand Line et sans aucun doute de NW....

J'en profites justement pour dire quelque chose à ce sujet, lorsque tu débarques sur des mers comme Grand Line, ou que tu débarques à la marine, tu es en partie nouveau dans ce monde. La moitié, voir les 3/4 de ce que tu connais sur le manga, te sont inconnu à ton PJ. Il faut très bien faire la différence. Les fruits du démon ont l'air d'être très peu connu sur les Blues, bien que certain comme Baggy ou Smoker en possédait....
C'est quelque chose de difficile, car il faut faire la part des choses entre ce que tu connais TOI et ce que connait ton PJ.....
C'est pourquoi, je te conseils de faire sur le coté, une liste des mystères que ton pj ne connait pas encore, ou qu'il ne peut pas connaitre, et le ressortir en cas de doute. Ça te permettra de ne pas commettre l’erreur une nouvelle fois....
c'est quelque chose que je dis à toi, car tu as commis l’erreur, mais ça vaut pour tout le monde. Moi même, j'ai une de ces listes que j'ai faite moi même....

Ah oui c'est une très bonne idée je n'y avait pas penser ^^ je vais la faire maintenant je pense